• Article du Télégramme

    Carantec        

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    Premier salon d'hiver. 53 peintres et 12 sculpteurs

    6 décembre 2011

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     Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître», commentait Agnès Le Brun, maire de Morlaix et députée européen, lors du vernissage inaugural du «Premier salon d'hiver» organisé par le Salon des arts de Carantec. Si la qualité des oeuvres était au rendez-vous, le public était également celui des grands jours. Il était bien difficile de se frayer un chemin d'une cimaise à l'autre au premier étage de la mairie exceptionnellement retenue pour la manifestation, l'Espace André-Jacq étant provisoirement occupé par la médiathèque et l'office de tourisme.

    «Une question d'émotion»

    Président de l'association organisatrice, Jacques Héliès a rendu hommage tout d'abord à Marie-Anne Guéguen et Robert Priser qui avaient fait, des années durant, du Grand salon de peinture de Carantec, l'un des rendez-vous artistiques majeurs à la pointe de la Bretagne. Il est impossible naturellement de passer en revue les 53 peintres et les douze sculpteurs qui invitent à découvrir leurs oeuvres où la matière de Bretagne occupe une place de choix entre le «Matin brumeux à l'île de Sein», d'Henri Belbéoc'h, «Plougasnou rêveur», de Kate Ackerley, le «Port de Roscoff», de Gilles Brunerie... De Loys Laouénan à Jean-Claude Faujour, de Roger Joncourt à Michel Le Bourhis, bien des noms sont familiers aux amateurs d'art. Appareillages, scènes de la vie quotidienne, portraits et musiciens, les toiles sont autant d'invitations au voyage et à la rêverie. Et derrière le bronze, la terre cuite, la céramique ou le granit des sculpteurs, les visiteurs se sont attachés à remarquer le triomphe de l'esprit sur la matière. Jacques Héliès a souligné combien l'expérience artistique était avant tout celle d'une «émotion».

    «Jusqu'au 31décembre»

    Raymond Mercier, conseiller général, a salué, à travers l'exposition, l'irruption d'un «océan de couleurs dans la grisaille de l'automne», exprimant la magie de l'art qui restitue la réalité autrement que par les mots ordinaires. Marylise Lebranchu, députée de Morlaix, a remarqué combien la peinture et la sculpture, si elles s'enracinaient dans un acte de solitude, ne relevaient en rien d'un acte d'égoïsme mais bien de rencontre et de solidarité. Jean-Guy Guéguen a rendu un hommage appuyé à l'équipe du Salon des arts pour avoir repris le flambeau de belle manière.

     

    Impossible naturellement de passer en revue les 53 peintres et les douze sculpteurs qui invitent à découvrir leurs oeuvres où la matière de Bretagne occupe une place de choix entre le «Matin brumeux à l'île de Sein», d'Henri Belbéoc'h, «Plougasnou rêveur», de Kate Ackerley, le «Port de Roscoff», de Gilles Brunerie... De Loys Laouénan à Jean-Claude Faujour, de Roger Joncourt à Michel Le Bourhis, bien des noms sont familiers aux amateurs d'art. Appareillages, scènes de la vie quotidienne, portraits et musiciens, les toiles sont autant d'invitations au voyage et à la rêverie. Et derrière le bronze, la terre cuite, la céramique ou le granit des sculpteurs, les visiteurs se sont attachés à remarquer le triomphe de l'esprit sur la matière. Jacques Héliès a souligné combien l'expérience artistique était avant tout celle d'une «émotion».

     


  • Commentaires

    1
    Lundi 6 Février 2012 à 14:54
    On such events a lot of people come to exchange knowledge and experiences.
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